Depuis Freud (début du 20ème siècle), la psychanalyse a connu des avancées essentielles, mal connues du grand public en France.
Les psychanalystes post-freudiens, comme Mélanie Klein, puis les post-kleiniens (W. Bion, D. Meltzer, E. Bick, entre autres) ont permis de faire évoluer la théorie et la pratique de la psychanalyse.
La psychanalyse est une recherche de vérité. Il s’agit pour le psychanalyste de savoir entrer sur la scène d’un conflit psychique qui est resté inconscient chez le patient, quel que soit son degré d’éducation ou d’intelligence. Le psychanalyste restitue au patient, au fil des séances, le sens profond de son discours, lui permettant d’accéder à une compréhension nouvelle. Cette compréhension nouvelle a un effet transformateur chez le patient, au niveau de ses émotions et idées, mais aussi des représentations inconscientes du corps, élaborées dès le début de la vie, qui participent aux symptômes psychosomatiques (Freud, 1923: “Le Moi est avant tout un moi corporel”) .
Psychanalyse et corps
Des a-priori encore largement répandus en France présentent la thérapie psychanalytique comme une démarche “intellectuelle” qui serait déconnectée des enjeux d’efficacité thérapeutique et d’effets sur le corps… Les repères de pensée des analystes post-kleiniens permettent de traiter dans le vif des séances les souffrances mentales et aussi ce qui, dans leurs manifestations psychosomatiques, relève de la carence de liens psychiques entre des éléments de l’histoire vécue du patient, au niveau de sa pensée, ses comportements, ses émotions, et son corps.
En effet, les symptômes psychosomatiques renvoient à une élaboration inexistante ou précaire de “liens de sens” , et ce avant l’âge de 3 ans. Ces liens de sens manquants contraignent le sujet à utiliser son corps à la place de sa psyché. Il s’agit dès lors pour le psychanalyste, dans un travail commun avec le patient, de dénouer l’apparente énigme du symptôme, énigme qui va revêtir des formes aussi multiples et singulières que l’histoire individuelle de chaque patient.
Des a-priori encore largement répandus en France présentent la thérapie psychanalytique comme une démarche “intellectuelle” qui serait déconnectée des enjeux d’efficacité thérapeutique et d’effets sur le corps… Les repères de pensée des analystes post-kleiniens permettent de traiter dans le vif des séances les souffrances mentales et aussi ce qui, dans leurs manifestations psychosomatiques, relève de la carence de liens psychiques entre des éléments de l’histoire vécue du patient, au niveau de sa pensée, ses comportements, ses émotions, et son corps.
En effet, les symptômes psychosomatiques renvoient à une élaboration inexistante ou précaire de “liens de sens” , et ce avant l’âge de 3 ans. Ces liens de sens manquants contraignent le sujet à utiliser son corps à la place de sa psyché. Il s’agit dès lors pour le psychanalyste, dans un travail commun avec le patient, de dénouer l’apparente énigme du symptôme, énigme qui va revêtir des formes aussi multiples et singulières que l’histoire individuelle de chaque patient.
Psychanalyse et enfant
L’écoute psychanalytique des tout-petits et des adolescents permet de les aider à bien démarrer dans la vie, et prévenir des évolutions qui seraient plus handicapantes et longues à soigner à l’âge adulte.
Psychanalyse et développement personnel
La thérapie psychanalytique permet un changement personnel profond et durable, et une meilleure autonomie de pensée. Elle vous aide à développer ou préserver vos ressources personnelles, émotionnelles, mentales, et aussi corporelles, puisque chaque ressenti physique est associé à une trace psychique (neuronale). Vous pourrez ainsi faire les meilleurs choix de vie, pour vous-même et avec les autres.